Sunday, March 31, 2013

Duplas linguagens ou o futuro é cipriota

Le traitement réservé aux actionnaires et gros créanciers est-il ou non unique, comme Benoit Coeuré et Yves Mersch de la BCE se sont dépêchés de le déclarer à la suite de l’intervention de Jeroen Dijsselbloem qui prétendait en faire un modèle (avant de démentir devant la réaction des marchés) ? Ce dernier a ensuite reçu le renfort du premier ministre finlandais, Jyrki Kaitainen, qui a expliqué : « Partout en Europe nous devrions passer à une économie de marché normale, où les propriétaires et les investisseurs accusent des pertes en cas de faillite bancaire », ainsi que de l’Institute of International Finance, ce qui n’est pas le moindre. Klaas Knot, le gouverneur de la banque centrale néerlandaise, a enfin affirmé à propos de son compatriote que « ses propos se réfèrent à une approche qui est sur la table depuis un moment en Europe. Cette approche fera partie de la politique de liquidation européenne ». Dans ce contexte, la déclaration de Wolfgang Schäuble selon laquelle « Chypre est et restera un cas exceptionnel » apparaît comme un propos de circonstance

(François Leclerc, no blog de Paul Jorion)

Levine (espartaquista alemão fuzilado em 1919, cuja bela frase foi mais tarde erroneamente atribuída a Lenine) disse, ao morrer: "nous sommes tous des morts en permission" (aprendemos esta citação no "Pierrot le fou" de Godard). 

Estaremos todos nós apenas à espera da nossa vez de ser cipriotas? "Des chypriotes en permission"?

1 comment:

  1. Pode ser, mas quem manda é a Alemanha, não são nem os holandeses nem os finlandeses.

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