Thursday, November 27, 2014

Prendam o Povo!

PRENDAM O POVO !


”Enquanto isso, é bom que se diga, de novo: 53 milhões de eleitores aprovaram tudo isso e 39 milhões de eleitores lavaram as mãos. Já estava tudo sabido pelos jornais, pelo rádio, pela televisão, desde janeiro, e depois na campanha política. Então, não me venham dizer que não são cúmplices”.
(Alexandre Garcia, jornalista brasileiro, sobre os escândalos na PETROBRÁS e os eleitores do PT)


Mas os portugueses quiseram que fosse assim. E tanto quiseram que em 2009, indiferentes ao que já se sabia sobre a actuação de Sócrates no Freeport e muito particularmente nessa vergonha nacional que foi o processo de licenciamento e construção da central de tratamentos de lixos da Cova da Beira, 2 077 695 eleitores lhe deram o seu voto para que continuasse como primeiro-ministro. É certo que o PS perdeu então a maioria absoluta mas note-se que não se pode falar de desastre eleitoral: em 2005, ano da grande vitória de Sócrates, o PS tivera 2 588 312. Que Sócrates continuasse a obter mais de dois milhões de votos depois do que sucedera entre 2005 e 2009 diz muito sobre a nossa alienação de valores.
(Helena Matos, jornalista portuguesa, sobre o caso Sócrates e os eleitores do PS)

Tuesday, November 25, 2014

O Financial Times na extrema-esquerda?

Éditorialiste du Financial Times en matière d’économie européenne, Wolfgang Münchau est peu suspect de complaisance envers une gauche radicale européenne qu’il qualifie volontiers de « dure »Dans sa contribution du lundi 24 novembre, reproduite ci-dessous, il estime pourtant qu’elle seule prône les politiques économiques qui s’imposent. (traduction Bernard Marx)
Supposons que vous partagez le consensus général sur ce que la zone euro devrait faire dès maintenant. Plus précisément, vous voulez voir plus d’investissements du secteur public et une restructuration de la dette. Maintenant, posez-vous la question suivante : si vous étiez un citoyen d’un pays de la zone euro, quel parti politique devriez-vous soutenir pour que cela se produise ?
Vous seriez sans doute surpris de constater que vous n’avez pas beaucoup de choix. En Allemagne, le seul qui se rapproche d’un tel programme est Die Linke, les anciens communistes. En Grèce, ce serait Syriza ; et en Espagne, Podemos, qui est sorti de nulle part et est maintenant en tête dans les sondages d’opinion. Vous pouvez ne pas vous considérer comme un partisan de la gauche radicale. Mais si vous viviez dans la zone euro et que vous étiez favorable à cette politique, ce serait votre seul choix possible.

« L’establishment espagnol craint que le programme de Podemos transforme le pays en une version européenne du Venezuela »

Qu’en est-il des partis de centre-gauche, les sociaux-démocrates et socialistes ? Ne soutiennent-ils pas un tel programme ? Cela leur arrive lorsqu’ils sont dans l’opposition. Mais une fois au pouvoir, ils ressentent le besoin de devenir respectables, à un point tel qu’ils se découvrent des gènes du côté de la politique de l’offre. Rappelez-vous que François Hollande, le président de la France, a justifié le changement de politique de son gouvernement en expliquant que l’offre crée la demande.
Parmi les partis radicaux qui ont émergé récemment, celui qu’il faut regarder avec le plus d’attention est Podemos. Il est encore jeune, avec un programme en cours d’élaboration. De ce que j’ai lu jusqu’à présent, il peut être celui qui paraît le plus en capacité d’offrir une approche cohérente de la gestion économique de l’après-crise.
Dans une récente interview, Nacho Alvarez, l’un des responsables de la politique économique de ce parti a présenté son programme avec une clarté rafraîchissante. Ce professeur d’économie de trente-sept ans a expliqué que le fardeau de la dette espagnole (à la fois privée et publique), n’est pas supportable et qu’il doit être réduit. Cela pourrait se faire par la combinaison d’une renégociation des taux d’intérêt, de délais de paiement, de rééchelonnement et d’annulations partielles. Il a également déclaré que l’objectif de Podemos n’était pas de quitter la zone euro – mais inversement qu’il n’était pas d’y appartenir à tout prix. L’objectif est le bien-être économique du pays.
Vu de l’extérieur, cela semble une position équilibrée. Mais pas tant que cela en Espagne. L’establishment craint que le programme de Podemos transforme le pays en une version européenne du Venezuela. Mais affirmer que si la dette n’est pas soutenable, elle doit être restructurée ; ou que si l’euro devait apporter des décennies de souffrance, il serait parfaitement légitime de s‘interroger sur les institutions et les politiques de la zone euro, ne devrait pas porter à controverse.

« Les partis de centre-gauche et centre-droit font dériver l’Europe vers l’équivalent économique d’un hiver nucléaire »

La position de Podemos part simplement de la réalité de la situation de la zone euro à la fin de 2014. Il est logiquement incompatible pour la monnaie unique d’entrer dans une stagnation de longue durée et de ne pas restructurer sa dette. Puisque rien n’est fait pour éviter celle-là, la probabilité que celle-ci intervienne s’approche de 100%.
Pourtant, pour le moment, les gouvernements européens continuent à jouer à "durer et faire semblant". On voit en Grèce où conduit une telle stratégie à courte vue. Après six années de dépression économique, le gouvernement se trouve dans une crise politique aiguë. Syriza est en tête dans les sondages, et a de bonnes chances de prendre le pouvoir lors des prochaines élections générales, peut-être en 2015.
L’Espagne n’en est pas encore à ce stade. Podemos pourraient priver les plus grands partis – le Parti populaire du premier ministre Mariano Rajoy et le parti d’opposition socialiste – de la majorité absolue lors des élections de l’année prochaine. Cela pourrait les forcer à réaliser une grande coalition de style allemand – qui ferait de Podemos le principal parti d’opposition.
La situation en Italie est différente, mais elle n’est pas moins grave. Si le premier ministre Matteo Renzi ne parvient pas à générer une reprise économique dans ses trois années restantes de son mandat, le mouvement d’opposition Cinq étoiles serait en pole position pour former le prochain gouvernement. Contrairement à Podemos, ce n’est pas un parti vraiment radical, et il est un ardent défenseur de la sortie de l’euro. Comme le sont aussi le Front national en France et Alternative für Deutschland en Allemagne.
Ce que Podemos doit encore faire est d’offrir une vision cohérente de la vie après une restructuration de la dette. Ce serait une bonne idée que ce parti s’organise au niveau de la zone euro au-delà de son alliance avec Syriza au Parlement européen, parce que c’est à ce niveau que les décisions politiques pertinentes sont prises. Une résolution de la dette pour l’Espagne est certes nécessaire, mais cela ne peut être que le début d’un changement plus large de politique.

La tragédie actuelle de la zone euro est l’esprit de résignation par lequel les partis de l’establishment du centre-gauche et du centre-droit font dériver l’Europe vers l’équivalent économique d’un hiver nucléaire. L’une de ses dimensions particulières est que les partis de la gauche dure sont les seuls qui soutiennent des politiques raisonnables tels que la restructuration de la dette. La montée de Podemos montre qu’il existe une demande de politique alternative. À moins que les partis établis changent leur position, ils laisseront la voie grande ouverte à Podemos et Syriza.

(o artigo de Wolfgang Munchau vai na tradução francesa, porque o FT não permite a divulgação do original para não assinantes)

Medusa



Rubens, 1618

Friday, November 21, 2014

Tuesday, November 18, 2014

Saturday, November 15, 2014

Dos poetas


La minceur sied au poète; qu'il veille à une apparence empreinte de spiritualité. À bonne distance déjà, on doit voir sur lui qu'il consacre, en proportion, davantage de jours à méditer que d'heures à festoyer. Un poète replet est une chose impossible. Écrire ne veut pas dire prendre du poids, mais jeûner et renoncer.

(Robert Walser, Vie de poète )


Que sabes fazer? Nenhuma palavra
irá cair aos teus pés como ave ferida
pelo tiro fulminante da poesia: que fazes aqui?
Não vês que lá fora desmontaram a feira,
o circo acabou há muito
e todos querem fechar de vez a luz deste palco
onde tu teimas em ficar?

Às vezes encontram-se restos, vestígios,
ou como o outro dizia pedras, conchinhas, pedacinhos de ossos,
neste navio há cem anos naufragado,
com os seus poetas a continuar a cantar,
mesmo depois de Auschwitz. 
Por isso eu sou aquele que varre os palcos
depois de cair o pano,
à procura da flor azul ou de uma última
palavra.








Wednesday, November 12, 2014

Elegia em memória de Dom Fernando de Mascarenhas, Marquês da Fronteira e Conde da Torre


A memória de ti começa
no  Palácio Fronteira cercado pela polícia de choque:
ao megafone, o ministro dava-nos quinze minutos para sair
e nós subversivos, nós clandestinos,
teus convidados,
hóspedes do mais autêntico aristocrata que tivémos,
nós a decidir em inflamada assembleia
se sair ou não.

Sim, nós estávamos habituados às cargas
policiais e fugir à polícia era a nossa arte,
que cada um praticava à sua guisa.
Por isso os inflamados não queriam sair.
Aí vieste tu, o mais nobre dos anfitriões.

Pegaste no microfone
e disseste que a decisão era nossa,
mas que os azulejos daquele jardim, as estátuas
e cada muro e cada janela
eram o património do que temos de História
e de tudo o que podemos levantar com orgulho
face aos mastins de cada dia.

Saímos um por um.
O ministro ria, dentro do carro.
Os polícias seguravam os cães.
Lembro-me de seguir uma rapariga bonita,
representante da classe operária,
por aquelas ruas de S. Domingos de Benfica.
Mas fui tímido e não fui capaz de dirigir a minha voz
à classe operária.
Perdi-me da rapariga
e talvez também da classe operária.
Mas não de ti, meu Amigo.

Recebias em tua casa
os poetas, os versos e as musas:
e o olhar de Alcipe a seguir-nos à saída
da casa de jantar,
divertida por certo com a diversidade
dos gostos e dos engenhos,
trazia a ironia da tradição
ao nosso bulício pós - moderno.

Também te recebi em S. Clemente *,
aonde os teus imensos amigos brasileiros
acorriam para te visitar,
gratos pela fidalga (é a palavra certa) hospitalidade
que lhes foste dando por Lisboa, anos corridos.
Mas também te recordo, naqueles anos de internet primitiva,
à espera, paciente como ave, que o meu filho saísse do computador
para tu lhe poderes chegar.

Meu Amigo, de ti aqui só dou memórias esparsas.
Mas quem ler os teus sermões
aprenderá alguma coisa da nobreza de carácter.
Aprenderá até que (ó maior das surpresas!)
ela pode existir.
E ter o teu nome.



*Palácio de S. Clemente, Residência do Cônsul-Geral no Rio de Janeiro






Monday, November 10, 2014

Das mudanças


Fechar mais uma porta, ter em caixas de cartão
a vida resumida; e um outro espaço virá
para toda a atenção ao que ainda pode ser.
Nunca desisto. Ainda que amargo,
o verso se ilumina
e não morre no pavio a contrariada chama:
deixo-a que alastre e se consuma,
esvaída no momento, tal como a vida
foi ficando pelo mundo repartida
e em caixas de cartão solta e movida.
 

Aos que perdemos



Entrou em silêncio. Foi
vendo onde a paz do mundo
arredondava a visão
de um silêncio mais profundo.
Entrou por ali. Ficou,
suspenso, a escutar o pulso
longínquo e interior.
Só se ouvia ouvir-se o mundo.


(Fernando Echevarría, Categorias e Outras Paisagens, 2013)

Sunday, November 9, 2014

Os sequestrados da dívida


Van Gogh, A Ronda dos Prisioneiros, 1890

Wednesday, November 5, 2014

Ao fim e ao cabo

Momentos houve em que os anjos
entreabriram as portas do céu:
mas acredite em mim, o silêncio
é a mais estimável qualidade do divino
e é finalmente tudo o que a terra tem para nos dar.

Terminou o concerto. Voltemos para casa.



Passagem dos anjos


Tuesday, November 4, 2014

Poesia e Morte (publicado na revista "Relâmpago", nº34, Abril de 2014)

 1. A  POESIA  COMO  MÚSICA   DA  MORTE
A morte que é de todos e virá (Jorge de Sena)
Freud ensinou-nos que para o Inconsciente não existe a morte.  Deste modo, a poesia é mais um mecanismo de defesa do Eu para não acreditar no seu  próprio fim.
A poesia é a própria música da morte.  E é assim que nós continuamos a tocar pela noite a nossa pequena música:  para não ouvirmos a morte.  Para podermos esquecer o silêncio da morte.  E essa nossa pobre pequena música pode ser a poesia, mas também pode ser a arte, o amor, a acção transformadora, tudo aquilo a que alguém se apega ou destina para perdurar, ficar, poder transcender de alguma forma aquela que é de todos e virá.
Mas como dizia o mesmo poeta, de morte natural nunca ninguém morreu.  A morte é sempre um escândalo.  Todos os sinos dobram por nós, mas nada fica depois da nossa passagem.  Tentamos por todas as formas esquecer o grande silêncio que nos rodeia, entoamos as melodias do desejo, do amor, da obra, mas no mais dentro da poesia voltamos a encontrar a incontornável música da morte.  Pois de que nos pode valer o que ficará depois de nós, lá onde nós não estaremos?




O receio da morte é a fonte da arte (Ruy Belo)



















2. TRÊS POEMAS:

A ILHA DOS MORTOS

Nunca, entre tanta serenidade,
poderia pousar uma crispação, uma recusa
ou um brusco estremecimento do coração
desmedido.  Não conhecer a paixão
é o privilégio dos mortos.  Entre a mão
e a barca,
entre o silêncio e a aridez,
entre a claridade
e o tremor
caem as sombras sobre a água como
a roupa se desprende e cai do corpo desejado,
entrevisto,
como de tanto amor se tece a morte.

(de A Ilha dos Mortos, Quetzal, Lisboa, 1991)



Alma a quien todo un Dios prisión ha sido,
venas que humor a tanto fuego han dado,
médulas que han gloriosamente ardido,

su cuerpo dejarán, no su cuidado;
serán ceniza, mas tendrán sentido.
Polvo serán, mas polvo enamorado.

(Francisco de Quevedo)



















A MÚSICA DA MORTE

Já passaram por nós as frias aves,
aprendemos a música da morte.
Ao princípio escurece, um arrepio
vem toldar a memória sobre a pele
e a sombra que deixámos faz-se leve
diferença como eco ou na paisagem
turvo matiz que inquieta de repente:
tudo o que irá esquecer nossa passagem
nos vem olhar agora frente a frente.
Da morte aqui passaram frias aves,
como nuvens sem mar ou mar sem naves.

(de Outras Canções, Quetzal, Lisboa, 1998)




e só agora penso:
porque é que nunca olho quando passo defronte de mim mesmo?
para não ver quão pouca luz tenho dentro?

(in Herberto Helder, A Morte sem Mestre, Porto Editora, Lisboa, 2014)
















MEMENTO MORI

Eu vi morrer três pessoas:
a uma acompanhei até ao fim,
no que seria talvez o que lhe restava de vida
ou porventura o que lhe sobrava de morte;
outra morreu quando eu dormia,
longe do hospital:
e tive que atravessar pela madrugada
uma cidade estrangeira
para chegar à sua morte;
e meu Pai, enquanto eu ia
comprar-lhe uma garrafa de oxigénio,
que nunca soube a quem serviu depois.

Nós nunca vemos ninguém morrer,
porque morrer é por dentro de cada um,
como talvez tudo o que tenha algum sentido,
como talvez o amor.

O que verdadeiramente importa
é opaco ao nosso olhar
e cada prova que vivemos
é só e única:
morrer ou ver morrer
e o amor também.

(de Lendas da Índia, Dom Quixote, Lisboa, 2011)



Verrá la morte e avrá i tuoi occhi  (Cesare Pavese)


Monday, November 3, 2014

As árvores e os livros






AS ÁRVORES E OS LIVROS
As árvores como os livros têm folhas
e margens lisas ou recortadas,
e capas (isto é copas) e capítulos
de flores e letras de oiro nas lombadas.
E são histórias de reis, histórias de fadas,
as mais fantásticas aventuras,
que se podem ler nas suas páginas,
no pecíolo, no limbo, nas nervuras.
As florestas são imensas bibliotecas,
e até há florestas especializadas,
com faias, bétulas e um letreiro
a dizer: «Floresta das zonas temperadas».
É evidente que não podes plantar
no teu quarto, plátanos ou azinheiras.
Para começar a construir uma biblioteca,
basta um vaso de sardinheiras.
Jorge Sousa Braga, Herbário, Lisboa, Assírio & Alvim, 1999

Sunday, November 2, 2014

Árvores

O Baume Lebens, o wann winterlich?

(Ó arvores da vida, quando virá o vosso inverno? - tradução de Paulo Quintela)

Rilke, Elegias do Duíno, A Quarta Elegia




Canção "Mamatschi", com letra de Franz Xaver Kappus, o "jovem poeta" de Rilke



Es war einmal ein kleines Bübchen,
das bettelte so wundersüss,
Mamatschi, schenke mir ein Pferdchen,
ein Pferdchen wäre mein Paradies.
Darauf bekam der kleine Mann
ein Schimmelpaar aus Marzipan,
die sieht er an, er weint und spricht:
'Solche Pferde wollt ich nicht!'
Mamatschi, schenke mir ein Pferdchen,
ein Pferdchen wäre mein Paradies,
Mamatschi, solche Pferde wollt ich nicht!
Die Zeit verging, der Knabe wünschte
vom Weihnachtsmann nichts als ein Pferd.
Da kam das Christkind eingeflogen
und schenkte ihm was er begehrt.
Auf einem Tische stehen stolz
vier Pferde aus lakiertem Holz.
Die sieht er an, er weint und spricht:
'Solche Pferde wollt ich nicht!'
Mamatschi, schenke mir ein Pferdchen,
ein Pferdchen wäre mein Paradies,
Mamatschi, solche Pferde wollt ich nicht!
Und es vergingen viele Jahre
und aus dem Knaben ward ein Mann.
Da eines Tages vor dem Tore,
da hielt ein herrliches Gespann.
Vor einer bunten Kutsche standen
vier Pferde, reich geschmückt und schön.
Die holten ihm sein liebes Mütterlein.
Da fiel ihm seine Jugend ein.
Mamatschi, schenke mir ein Pferdchen,
ein Pferdchen wäre mein Paradies,
Mamatschi, Trauerpferde wollte ich nicht.


Taken from http://lyricstranslate.com/en/mamatschi-mummy.html#ixzz3HtsVTE55