"Even accepting that the connection with Europe has been beneficial to India, it is open to doubt whether a century and a half of barbarous outrages, of unscrupulous plunder and of barren aggression, is not too great a price to pay for the doubtful benefits of having the way opened for other European traders. India's own direct trade was ruined and, in its place, there was established a monopoly by alien races, which had the effect of draining the wealth of India into Europe. The Portuguese of the 16th and the 17th centuries had nothing to teach to the people of India except improved methods of killing people in war and the narrow feeling of bigotry in religion"
(K. M. Pannikar, "Malabar and the Portuguese")
And now for a totally different view:
"Les relations entre l'Inde et la France allaient changer. Mme Pandit, la soeur de Nehru, ambassadrice à Londres, rentrait aux Indes par Paris. Elle vint à l'Élysée, accompagnée de l'ambassadeur de l'Inde en France, le serdar Pannikar, Indien à barbiche et à lorgnon, anti - Européen, plein d'idées astucieuses ou chimériques, qui faisait penser à Lénine et à Tartarin. Après les paroles de bienvenue, le général De Gaulle demanda à son interlocutrice comment elle concevait la politique étrangère de la Chine. Pannikar avait représenté l'Inde à Pékin; Mme Pandit, qui est la courtoisie même (...) se tourna vers lui. Il commença une conférence sur la Chine, qui n'apportait rien. Le temps passait. La Chine le conduisit à un parallèle entre les sinn-feiners et les fellaghas. Le temps passait. Lorsqu'un aide de camp vint annoncer l'ambassadeur des États Unis, ni Mme Pandit ni le général De Gaulle n'avaient pu placer un mot.
(...)
Pannikar repartit bientôt pour l'Inde. On disait que Nehru n'avait pas été fâché de se débarrasser de lui"
(André Malraux, "Antimémoires")
É o mesmo personagem, sim!
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment