Saturday, April 13, 2013

Os números dizem o que nós quisermos que eles digam




On les prenait pour des pingres et des égoïstes. Les ménages allemands seraient, en réalité, les grandes victimes de la crise de la zone euro : des pauvres qui paient pour les riches, et non l'inverse.
Voilà le sentiment qui plane outre-Rhin, depuis la parution, mardi 9 avril, de l'étude de la Banque centrale européenne (BCE) sur la richesse comparée des citoyens des dix-sept pays membres. En Allemagne, ce rapport fait grand bruit.
On y découvre qu'un ménage allemand est moins riche (avec un patrimoine médian par foyer de 51 400 euros) que son équivalent espagnol (182 000 euros), italien (173 500 euros) et plus étonnant encore, qu'un foyer chypriote (266 900 euros). De quoi alimenter le sentiment d'injustice que ressentent les Allemands lorsqu'il faut payer pour sauver des pays d'Europe du Sud au bord de la faillite.Chypre étant le dernier exemple en date. "Dans la presse allemande, c'est une grande affaire, les conservateurs, surtout, sont très mécontents", observeGuntram Wolff, du think tank européen Bruegel.

Le Monde

2 comments:

  1. histórias de alice por detrás do espelho, é o que é isso tudo que vem no estudo; quanto ao foyer português deve estar do lado de cá do espelho e atrevo-me a adiantar um numero embora não o escreva para os alemães não ficarem perplexos antes de perguntarem a hora ao passarem pelo sr coelho

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  2. Fiquei muito preocupada com o nível de vida dos alemães. Num gesto de enorme grandeza, depois disto, Passos deveria propor a Angela que trocássemos de posição.

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