Nous errons à travers des demeures vidées
Sans chaînes, sans draps blancs, sans plaintes, sans idées
Spectres du plein midi, revenants du plein jour
Fantômes d’une vie où l’on parlait d’amour.
L’ère des phrases mécaniques recommence,
L’homme dépose enfin l’orgueil, et la romance
Qui traîne sur sa lèvre est un air idiot
Qu’il a trop entendu grâce à la radio.
Vingt ans après. Titre ironique où notre vie
S’inscrivit tout entière, et le songe dévie
Sur ces trois mots moqueurs d’Alexandre Dumas
(Louis Aragon)
Bastava um sorriso
ReplyDeletede compreensão mútua
e os vazios
seriam preenchidos
de afetos
e cemitérios de culpa
com razão
um destino já preciso
e os trilhos
movem-se como alfabetos
Em palavras
de amor saudade e solidão
Ai! Alcipe, eu hosto de Aragon. Mas tem de ser em doses temperadas. Este poema é triste...
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